Seb renforce sa présence en Côte-d’Or en investissant dans une future plateforme logistique de 60 000 m²

Déjà fort de 11 sites industriels basés en France, Seb voit ses ambitions logistiques à la hausse. Le spécialiste du petit équipement domestique revient ainsi dans le département de la Côte-d’Or qui l’a vu naître afin d’y investir 30 millions d’euros dans la réalisation d’une nouvelle plateforme logistique dédiée à la distribution des articles culinaires. Proche de ses sites de Selongey et Is-sur-Tille, l’installation, prévue à la livraison pour le premier semestre 2025, mutualisera les stocks et facilitera l'envoi des références communes du groupe sur plusieurs marchés d’Europe de l’Ouest (France, Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Suisse et Autriche).

Réseau logistique de pointe

Sur un terrain de 13 hectares acquis auprès de la commune de Til-Châtel, Seb prévoit d’ériger en deux temps 60 000 m² d’entrepôt pour renforcer l’efficacité de ses opérations logistiques. Soit 38 000 m² au démarrage et une seconde tranche de 22 000 m² pour absorber la croissance de son activité. « Le fabriqué en France occupe une place stratégique pour le groupe qui […] cherche à conjuguer, avec agilité, puissance industrielle globale et proximité des zones de consommation, déclare Thierry de La Tour d'Artaise, président du groupe Seb. Cette nouvelle plateforme à Til-Châtel va permettre de centraliser les approvisionnements et donc d’optimiser les flux vers nos clients en France et en Europe de l’Ouest. » Grâce à la proximité de la plateforme avec l’autoroute A31 et le site industriel de Seb à Is-sur-Tille, en pleine effervescence, le géant français du petit équipement domestique escompte mutualiser les stocks des références communes pour en faciliter la livraison.

L’emplacement « optimal de cette plateforme, déterminé par le barycentre entre l’activité industrielle et les marchés d’Europe de l’Ouest » et « au plus près du barycentre des flux d’approvisionnement et de livraison », détaille Seb dans un communiqué de presse, prévoit une réduction significative des distances parcourues par ses camions. Et, par conséquent, la réduction de son empreinte carbone et de ses coûts de transport, tout en consolidant la dynamique attractive du bassin d’emploi, grâce à la création prévue de 100 à 150 postes.

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