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Entrepôts

Fenwick s'équipe d'une solution de gestion de vitesse des chariots

Nouvelle fonctionnalité de la solution de gestion de flotte de Fenwick, Connect:zi permet un contrôle automatique de la vitesse des chariots dans l'entrepôt avec réduction automatique et programmable.

Publié le 5 novembre 2020 - 10h35
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Fenwick

Fenwick étoffe sa solution de gestion de flotte Connect. Proposant jusqu'ici l'analyse du parc de chariots d'un entrepôt pour des aspects de contrôle d'accès, de détection de choc et de reporting sur l'utilisation, cette gamme de services est augmentée aujourd'hui de Connect:zi, qui vise à proposer la réduction automatique et programmable de la vitesse des chariots dans les zones accidentogènes des entrepôts.

 

Concrètement, cette option permet de configurer des espaces à risques dans les entrepôts (sorties d'allées étroites, passages piétons), et de décider d'une vitesse maximale dans ceux-ci, qui s'appliquera automatiquement aux chariots quand ils y passeront. Les véhicules ralentiront donc pour repartir ensuite à vitesse normale. Une innovation qui peut être modifiée et pilotée simplement : « Le responsable de site télécharge le plan de son entrepôt directement dans son interface logicielle Connect:desk. Il y crée une ou plusieurs zones qu’il considère à risques et associe une vitesse maximale à chacune.  Il reste donc autonome pour créer et/ou modifier la taille des zones et adapter les vitesses afin de s’adapter au mieux aux évolutions de son activité », détaille Carine le Masson, chef de produit services chez Fenwick-Linde. Les chariots sont équipés d’un système spécifique qui reconnaît les marqueurs de zone positionnés sur l’infrastructure du client, communiquant via UWB (Ultra Wide Band) avec une précision à quelques centimètres. De quoi augmenter la sécurité dans le monde de la manutention : « Dans les entrepôts, les ateliers, il est impératif d’être de plus en plus productif, tout en restant garant de la sécurité. La vitesse des chariots est un critère clé : pouvoir l’adapter en fonction des zones à risques permet de répondre communément à ces deux objectifs », résume Carine le Masson.

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