Zadig & Voltaire optimise le suivi de ses flux amont avec Winddle

La marque française de mode Zadig & Voltaire était à la recherche d'une solution flexible capable de l'accompagner dans sa structuration future et de lui apporter de la valeur rapidement. Pour cela, la société a opté pour la solution Orders & Shipments Tracking de la plateforme SaaS collaborative Winddle afin de gérer quotidiennement le suivi de l’ensemble de ses commandes fournisseurs et livraisons entrepôt dans les trois zones de distribution de la marque : Europe, Asie et Amérique du Nord. « Dans un contexte de forte accélération de notre activité, avec une supply chain très internationale et des cycles de lancement produits très courts, il est essentiel de maîtriser efficacement et en temps réel le pilotage de nos approvisionnements. Winddle nous permet d’unifier des processus de suivi des commandes fournisseurs jusque-là fragmentés et manuels, en nous apportant un suivi collaboratif, harmonisé et structuré », indique Nicolas Gand, directeur supply chain de Zadig & Voltaire. « Nous avons été séduits par l’approche très user-centric de Winddle. La solution répond aux besoins métier spécifiques des approvisionnements amont et permet de les gérer avec beaucoup de simplicité et d’efficacité », ajoute Caroline Hervé, supply chain manager amont.

Pour débuter, la solution va être utilisée sur un premier périmètre intégrant, en interne, les chefs de produits, l’équipe supply chain et les responsables comptabilité, tandis qu'en externe, s'y associeront ses prestataires transport et qualité.  Son objectif ? Unifier et optimiser le suivi des plannings de livraisons fournisseurs et toute l’organisation transport. «En trois mois seulement, nous aurons ainsi supprimé les trois ou quatre différents rapports Excel utilisés en interne pour suivre les flux ainsi que les nombreux mails et re-saisies pour l’équipe supply chain. Connectée à notre ERP, la plateforme Winddle nous assure une fiabilité des données et une réactivité opérationnelle dont nous manquions jusqu’ici », termine Caroline Hervé.