Entrepôts : Arthur Loyd Logistique multiplie les transactions pour clôturer l’année 2025

Arthur Loyd Logistique annonce avoir mené à bien, depuis la mi-novembre 2025, « près de six transactions majeures, finalisées ou en cours de signature ». Bras armé du groupe Arthur Loyd – réseau national de conseil en immobilier d’entreprise – dans l’immobilier logistique, la structure clôture ainsi l’année avec de nouvelles implantations, principalement concentrées au cœur des « marchés profonds de la dorsale logistique ». « Ces opérations illustrent la capacité de nos équipes à accompagner l’ensemble des besoins des utilisateurs, quels que soient leur taille ou leur positionnement », déclare Didier Terrier, directeur associé d’Arthur Loyd Logistique. « Elles démontrent également notre aptitude à intervenir sur des opérations d’envergure. Au fil des années, nous avons construit une expertise reconnue qui nous permet aujourd’hui d’accompagner aussi bien les utilisateurs que les propriétaires mandants, sur l’ensemble de leurs enjeux. »

Plus de 220 millions d’euros de transactions

Le département Capital Markets (dédié à l’investissement immobilier) enregistre notamment, en décembre 2025, plus de 220 millions d’euros de transactions finalisées ou en cours de clôture. « Ces performances reflètent l’implication et le professionnalisme de l’équipe, en mesure de défendre des solutions adaptées à chaque situation, au regard de l’environnement de marché actuel. S’adapter à un marché mouvant et porter nos convictions auprès de nos clients reste essentiel », note Nicolas Chomette, directeur associé en investissement chez Arthur Loyd Logistique.

Dans sa dernière analyse des marchés (des utilisateurs et de l'investissement) de l’immobilier logistique en France au troisième trimestre 2025, le spécialiste du conseil soulignait en effet un certain attentisme décisionnel, lié à un environnement économique et politique français peu prompt à la stabilité. « Malgré les incertitudes économiques, la logistique française conserve ses fondamentaux robustes », notait alors Didier Terrier.

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