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et logistique

Transport

Propulsé par le réseau : l'utilisation de plateformes pour faire correspondre plus efficacement la demande de fret et la capacité

La correspondance entre demande de fret et capacité devient de plus en plus difficile, surtout dans l'environnement volatil d'aujourd'hui. Les transporteurs rejettent jusqu'à un quart de tous les chargements contractuels, ce qui oblige davantage de chargeurs à recourir au marché spot.

Publié le 30 août 2021 - 09h00 • contenu sponsorisé
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Transporeon

La solution à ce déséquilibre consiste à investir dans des systèmes de gestion des transports mettant en relation un grand réseau d’entreprises. Les nouvelles technologies permettent aux chargeurs et aux transporteurs d'automatiser la répartition des chargements à une toute nouvelle échelle.

 

Retraçant depuis les années 1980 comment la nouvelle norme d’appels d’offres de transport fut définie, Transporeon et Adrian Gonzalez, fondateur du blog Talking Logistics, se sont intéressés aux limites du processus d’achat transport dans la conjoncture actuelle. Ils ont mené une enquête auprès de 360 professionnels du secteur pour déterminer comment et pourquoi l'approche dominante de l'approvisionnement en transport - c'est-à-dire la manière dont la demande de fret est mise en correspondance avec la capacité de transport - doit changer pour répondre aux réalités actuelles du marché. De ces recherches vient d’être publié un rapport, dont voici un aperçu :

 

Que se passe-t-il lorsque votre transporteur principal rejette votre offre de chargement et que vous avez épuisé votre panel de transporteurs référencés ?

 

Généralement, les processus automatisés s’arrêtent, poussant les chargeurs et les transporteurs à utiliser des méthodes souvent manuelles et inefficaces pour associer les charges aux capacités. En résulte généralement une augmentation des coûts, des retards dans les expéditions et une utilisation sous-optimale des camions et des conducteurs.

En outre, ceci accroît le gaspillage et les inefficacités qui continuent de peser sur le secteur, par exemple sous la forme de kilomètres/trajets à vide (15 à 30 % à vide) et d'émissions accrues de CO2.

 

Si l'on considère donc le problème de manière plus générale, notamment à la lumière des conditions actuelles du marché, une autre question se pose : le moment est-il venu de transformer le processus traditionnel d'achat de transport ?

 

Pour consulter les réponses des professionnels interrogés et l'intégralité du rapport, cliquez sur ce lien.

 

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